études patrimoniales

À PROPOS

é • p

Un bâtiment, un ensemble bâti, un lieu, à travers sa matérialité, son écriture architecturale, la force de son plan, son inscription urbaine ou encore son rapport à la mémoire collective, acquiert au fil du temps une dimension bien supérieure à celle d’une simple construction.

C’est sûrement ce qui fait de la réhabilitation l’un des champs les plus stimulants en architecture. Un défi pour magnifier la matière existante et y inscrire les attentes d’une époque et de futurs usagers.

plan musée Fabre Montpellier © é p
porte Vaise enceinte Lyon
château de Sassenage

Ainsi chaque nouveau sujet demande d’identifier, comprendre et révéler les qualités de l’existant comme socle de nouvelles interventions. Notamment en considérant les éléments en présence et en s’appuyant sur un détail ou une évidence qui échappait pourtant jusqu’ici au plus grand nombre.
Alors cette démarche offre la chance de plonger dans l’histoire et l’intimité d’un lieu avant de composer intelligemment son devenir.

Quand on hérite d’une pile de documents et d’études préalables touffues, obsolètes, non spatialisées ou encore difficiles à appréhender… 

é • p • apporte une connaissance renouvelée des bâtiments, s’appuyant sur :

  • des études parfois préexistantes sur lesquelles une approche critique et synthétique est portée, 
  • des documents d’archives inexploités et 
  • un nouveau regard porté à leurs qualités et enjeux de mise en valeur dans le cadre de projets de reconversion.

Ce nouveau socle condensé et enrichi met en perspective les attentes des maîtres d’ouvrages et maîtres d’œuvre pour leur permettre de se concentrer sur le développement d’un projet et de communiquer, de manière didactique, avec l’ensemble des acteurs d’une opération, institutionnels et futurs usagers.

ateliers Ernest Hébert

Ces études documentaires sont toujours croisées avec l’observation fine des architectures pour éviter l’écueil d’ « études en soi » et apporter une lecture concrète des lieux.

extrait évolution îlots Montpellier © é p